-Savoir prévenir
Après la maladie, ce que les gens craignent le plus, c’est le manque d’argent ou la perte de leurs avoirs. Quoi de plus frustrant que d’accumuler de l’argent toute sa vie et de le perdre à sa retraite, justement au moment où on en a le plus besoin. Il faut donc savoir prévenir.
En parler
Il faut dénoncer ces abus inacceptables qui sont fait sur nos aînés, nos parents, nos patriarches. Ce faisant, nous susciterons la vigilance de toute une population qui pourrait servir de chien de garde. Une surveillance accrue autour de l’aîné découragerait presque assurément l’abuseur qui aurait peur de se faire prendre.
Se sentir concerné
Bien qu’on en parle peu parce que le sujet est tabou, les gens ne s’intéressent pas aux problèmes de l’exploitation des personnes âgées d’abord parce qu’ils pensent que ça ne peut pas les toucher et ne se sentent donc pas concerné. Malheureusement pour eux, ils devront admettre, tôt ou tard, que la perte d’autonomie, les abus et les fraudes peuvent être le lot de n’importe qui.
Être bien préparé
Un bon conseiller en sécurité financière peut vous aider à faire des choix de placements judicieux en vue de la retraite et en tenant compte de tous les besoins générés par le vieillissement et des risques d’abus financiers. Un capital bien structuré et bien protégé avec des produits spéciaux qui procure un revenu fixe décourage les fraudeurs qui cherchent à détourner de grosses sommes.
Confidentialité
Certains aînés sont très habiles avec les nouvelles technologies qu’ils savent utiliser au besoin. Mais d’autres sont complètement dépassés par ces technologies utilisées pour effectuer les transactions bancaires. Ceux-ci peuvent donc être tenté de confier tous leurs comptes et leur NIP à des personnes de leur entourage. Avec la carte et le NIP en main, le fraudeur n’a qu’à se servir!
De plus, on peut s’attendre, dans quelques années, à ce que presque toutes les transactions se fassent par Internet, même l’administration de placements. On pourra peut-être même procéder à des transactions par Internet sans avoir vu un conseiller, ni signer de documents. Imaginez ce que pourrait faire un jour un mandataire avec le NIP d’une personne devenue malade et vulnérable!